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Ingrid Barbier Parolière 
 
 
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Chanson autobio
Première chanson
La source...
De soleil et...
Bouge
Voyage intérieur
Mélancolie
Tic tac toc
Soir...
Monde de...
Sereine
Amitié
Hm
Avec elles...
J'ai mal...
Manu et...
Je suis dans...
Mars...
Sans toi
Cherche...
J'ai rêvé...
Ils sont là
Paradoxales
Mon moi...
Nostalgie
Je me libère
On perd...
Elle joue...
Le masque...
Petits bonheurs
Exutoire
Toi l'ennui...
L'humanitaire
L'alcoolique...
Mystère
Au naturel
Lot de...
Pourtant
C'est trop...
Fin et...
Mauvaise foi...
La vague et...
Ma-de-moi...
Conte Sereine
Trentenaires
Marche ou paye
Ecole de la vie
Subtle pencil
Marquez-moi
Le carrefour
Toile
Départ
Terra Ednamed
Couleur diapason
Electrochoc
Radio-actif
Lynché
Rojo
Plan A
I miss I
aïe
Lasse
La nuit
Gris
Non non
Maux
Je vis comme ...
Soleil
I'm afraid
Et je dis reste
Du bout des ...
I'm alive
Mon souffle
Je m'aime donc
Ne pas vouloir y
Où est l'égalité
L'indigo de
Circus boulevard

 

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Lot de consolation

Femme : 
Tu n'es qu'un lot de consolation 
Pauvre con 
Mais tu crois vraiment que je t'adore 
T'es trop fort 
Tous les soirs je n'attends qu'une chose 
Que pendant la nuit tu imploses 
Je serais enfin débarrassée 
Mon minet ! 
 
Je t'ai tout donné de ma vie 
Abruti 
Les faux rires et même les ennuis 
Et mon corps sans vie sous tes cris 
Tu as vraiment cru que j'ai joui ? 
T'as pas d'bol j'ai toujours menti 
Toutes les nuits je pense à un autre 
Pauvre idiot tu lui ouvres ta porte 
 
J'ai toujours voulu me faire ton pote 
Pauvre cloche 
Mais jamais il ne me tripote 
Il veut pas gâcher l'amitié 
Il t'aime trop pour te faire crever 
Mais attend moi je vais pas me gêner 
Je jouerai la veuve affolée 
Il ne pourra plus me rejeter 
 
Homme : 
Tu n'es qu'un lot de consolation 
Pauvre con 
C'est ce qu'elle m'a dit hier soir 
En préparant les épinards 
Elle a sûrement mis du poison 
Pour accompagner sa potion 
Cruelle sorcière en mal d'amour 
Elle m'a démoli en un tour 
 
Je m'effondre, le téléphone sonne 
Elle répond que je fais un somme 
Paumée, elle termine son polar 
M'aide à finir les épinards 
A croire qu'elle n'était pas futée 
Elle avait sans doute oublié 
Que le pote étant averti 
Ne me laisserait pas mourir 
 
Il ne fallait pas négliger 
L'amitié unissant ces hommes 
Maintenant on peut se marrer 
Pauvre conne ! 
 
 
Tous droits réservés par Ingrid Barbier 
Chanson écrite le 21/05/2009 par Ingrid Barbier

(c) Ingrid Barbier - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 9.11.2009